The Death Walk
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 Ruben Dayan

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2 participants
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Ruben Dayan
J'ai pas d'fiche, c'est mal!
Ruben Dayan


Nombre de messages : 3
Age : 49
Classe : Le Glauque
Localisation RP : Hôpital
Date d'inscription : 29/12/2009

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MessageSujet: Ruben Dayan   Ruben Dayan Icon_minitimeJeu 31 Déc - 15:18

Fiche de personnage

Prénom : Ruben
Nom : Dayan
Surnom : Medecinator

Age : 34 ans
Classe : Le Glauque
Métier : médecin militaire
Orientation sexuelle : hétérosexuel. Enfin, d'après ce que je me souviens, car ça fait longtemps que je n'ai pas connu le grand amour. Les temps comme les œufs sont durs, disait Ken.
Appartenance : clan des Lamentos
Habitation : Hopital


Description physique :
Je n'ai pas ce que l'on appelle communément un physique de jeune premier. Du haut de mon mètre quatre-vingt-dix et de mes quatre-vingt cinq kilos, j'ai un corps athlétique. Presque un physique de play boy. Malheureusement, en y regardant plus haut, il y a un hic. Mes balafres et les brûlures au visage que j'ai héritées de mon ancienne vie militaire ne sont pas très jolis à voir. Ajouter à cela un regard froid et un solide cynisme, et certains me considèrent aussi froid et effrayant qu'un zombie... Qu'importe, avoir un fan club n'est pas ma priorité. J'ai été suffisamment dégoûté de la bêtise et de la cruauté des hommes pour me soucier de ce que les autres pensent de moi. De toute façon, étant donné le lieu et l'époque, l'important est de survivre. Pour ce qui est de vivre, on verra ça après.


Description psychique :
Dix années passées chez les Marines m'ont forgé un mental à toute épreuve. J'en ai foulé des champs de bataille, avec leur lot de sang et d'acier. Premiers soins au milieu des balles, des mourants agonisant en hurlant de douleur, amputations sans anesthésie... Je ne suis pas un tendre, et je ne suis pas du genre à lâcher le morceau. J'essaye de sauver un maximum de vies, tout en n'oubliant pas que la mienne prévaut sur celle des autres. Cela vous choque ? Soyez logique : moi mort, je ne serai d'aucune utilité pour les blessés. Je suis réaliste, j'ai la tête sur les épaules. Au risque de vous choquer. Mais ne vous méprenez pas, j'ai beaucoup de respect pour la vie humaine. Il en faut pour être médecin militaire, car croyez-moi, vous voyez tellement d'horreurs et de boucheries qu'il y a de quoi vous rendre fou. Il faut s'accrocher mentalement, pour soi et pour les autres. Et je ne vous parle pas du matériel avec lequel je devais opérer ou soigner, c'était souvent bricolé avec les moyens du bord. La débrouillardise, le système D, ça m'a permis d'en sauver des vies. La persévérance, aussi. Il n'y a pas de place pour les faibles ici bas. C'est cruel, mais c'est la vérité crue et sans fard. La réalité, soit on l'accepte et on se bat, soit on la nie et on meurt (ou on devient fou).


But/Rêves:
Mes buts ? Faire en sorte de voir la lumière du jour suivant. Et sauver des vies humaines, autant que faire se peut. Plus on est de fous, plus on rit, non ? Et il en faudra un sacré paquet de tarés pour affronter ces zombies en décomposition. Voilà mes buts, et si j'arrive à les atteindre, ce sera déjà pas mal. Cynique ? Non, réaliste. Désabusé ? Oui, la nature humaine est désespérante quand on la côtoie de trop près.
Quant à mes rêves... Mes rêves ? Je peux surtout vous parler de mes cauchemars. Des cauchemars peuplés de zombies, de mutants, de pillards. Non pas que je les craigne, bien au contraire. Mais tout être humain a un besoin vital de sécurité, et les temps n'y sont pas propices. Et cette insécurité permanente est dure à supporter. J'en ai vu se faire sauter le caisson, moi je m'accroche. Après la pluie, le beau temps, comme dit le dicton. On s'accroche comme on peut.


Histoire :
Je suis né le 11 mars 1975 à Manhattan. Ma mère est morte à l'accouchement et mon père n'a pas voulu me reconnaître. Un enfant illégitime, pour un homme marié, ce n'est socialement pas convenable, vous comprenez ? J'ai eu la chance d'être recueilli par une fondation caritative hassidique. Je n'ai aucune famille, aucune racine, je ne me suis jamais senti chez moi nul part. C'est peut-être la raison de mon détachement par rapport à la nature humaine. A la fondation, j'ai fini par suivre des études en médecine spécialisée dans les premiers soins. Une façon de remercier la fondation pour ce qu'elle faisait pour moi et pour les autres. Je conserve un excellent souvenir de mon passage à la fondation hassidique, même si je n'ai jamais adhéré à leur courant spirituel. J'ai retenu une chose de leur enseignement : l'être humain est mauvais par nature, seul l'amour de Dieu le rend bon. Mais Dieu a beau aimer les hommes de tout son cœur, ils le lui rendent bien mal.

Je me suis engagé dans les Marines à 23 ans, dans l'infanterie. Les Marines ont été comme une famille pour moi. J'ai participé au maintien de la paix en Bosnie puis à la seconde guerre d'Irak. C'est pendant cette guerre que j'ai été gravement blessé au visage par une grenade au phosphore, pendant la bataille de Bagdad. J'ai été salement amoché, et je ne dois la vie qu'à l'intervention d'un médecin militaire qui m'a soigné sur le champ de bataille. Au milieu des balles et des explosions, le gars a dû me recoudre le visage sur place, sans anesthésie. S'il ne l'avait pas fait assez rapidement, l'infection au phosphore allait gagner tout mon visage puis me cramer la cervelle. Pas très ragoûtant. Le résultat n'est certes pas digne de figurer dans un épisode de "Nip Tuck", mais je ne fais pas le difficile, d'autant plus que le médecin a fait du bon travail avec les moyens du bord. Pendant ma période de convalescence, j'ai réalisé l'erreur que j'avais commise en m'engageant dans l'infanterie et pas dans le corps médical. L'intervention de ce médecin a marqué ma vie : dévoué, courageux, humain, loin du stéréotype du "Rambo" canardant sur tout ce qui bouge, il donne le maximum pour sauver des soldats blessés au front. Une goutte d'humanité dans un océan de barbarie. Alors, à mon rétablissement, je suis entré à l'académie de médecine militaire où j'ai pu approfondir mes compétences dans la chirurgie de première nécessité et dans la médecine des premiers soins.

Au bout de deux ans, j'ai incorporé le corps des médecins militaires intervenant au front. J'ai eu l'occasion de participer à des actions commandos où j'ai pu réaliser des prouesses techniques tant les conditions étaient sommaires. J'ai fini par devenir l'un des meilleurs médecins du front, ce dont je n'étais pas peu fier. Mon père aurait pu être fier de moi, s'il s'était donné la peine de me reconnaître. J'étais fier de ce que j'étais devenu, et c'était bien là le principal. Un jour, j'ai été affecté à une mission portant sur le 51ème état de Sirius. Officiellement, les forces armées devaient contenir les agissements d'un groupe indépendantiste qui avait contaminé la population avec des armes de destruction massive avec pour objectif un soulèvement local. D'après les médias officiels, le plan des insurgés avait parfaitement fonctionné, et une opération de "nettoyage" au cœur même de Sirius devait être lancée pour contenir l'insurrection, six mois après le bombardement de la ville. Si le parachutage s'est passé sans encombre, l reste de l'opération s'est déroulé de manière fort étrange. Une fois parachutés au centre ville, nous avons eu la surprise de se faire accueillir par des personnes plus très fraîches, en état de quasi décomposition à vrai dire. Nous avions été briefés sur ces cadavres ambulants, ils étaient censés être les civils contaminés par les terroristes. Premier détail, ils étaient sacrément résistants aux balles. Second détail, les contaminés étaient systématiquement achevés. J'ai proposé de les soigner, et j'ai essuyé un refus cinglant du commandant de l'unité. Ce 'était pas l'objectif de notre mission. Peut-être mon pote, mais mon objectif à moi est de sauver des vies humaines, pas de les achever. D'autres personnes, qui n'avaient pourtant pas l'air contaminées, ont également été liquidées par les soldats. J'ai réussi à examiner un corps à leur insu, et j'ai abouti à la conclusion que la personne n'était pas contaminée. Naïvement, je dois dire, j'en ai référé au commandant qui m'a immédiatement relevé de mes fonctions pour haute trahison et mis aux arrêts, menotté. J'avais outrepassé mes fonctions, m'a-t-il signifié, et j'allais passer en cour martiale pour haute trahison (rie que ça). Finement joué, Ruben. Le merdier dans lequel tu t'étais fourré... J'aurai dû me douter que ça sentait pas bon, cette mission. Moi et ma manie de vouloir mettre mon nez partout.

Mon salut est paradoxalement venu des contaminés. C'est bien la seule fois où je leur suis reconnaissant d'exister. Un soir, le commando s'est laissé surprendre. La routine, y'a rien de plus mortel, si j'ose dire. Ça a été l'apocalypse : des soldats dévorés vivants, d'autres démembrés, d'autres tentant désespérément de contenir le flot des assaillants... Ma chance a été que l'un des soldats avait été blessé et avait besoin de moi pour les soins. Il m'a enlevé les menottes et nous avons pris la fuite. Nous avons définitivement perdu le contact avec le reste du commando. Ce n'est pas moi qui allait m'en plaindre, à vrai dire. En écoutant les ondes radios des forces spéciales, nous avons appris que nous étions désormais considérés comme déserteurs. Si les forces armées nous mettaient la main dessus, notre compte était bon. Et dire que je considérais les Marines comme ma famille. Décidément je n'ai pas de chance question famille. Autant rester solitaire, c'est moins dangereux. Mais vu les circonstances, c'était le cadet de nos soucis. Il fallait d'abord échapper aux lépreux si nous ne voulions pas leur servir de casse-croûte. L'état de santé de mon compagnon d'échappée empirait chaque jour malgré mes soins. Ce qui m'a frappé, c'est que ses blessures étaient superficielles. Il semblait infecté par un virus inconnu, mes médicaments étant sans effet. Il a fini par mourir au bout de deux semaines, dans d'atroces souffrances. Le pauvre gars, il n'avait pas mérité ça. Je l'ai enterré rapidement, il avait le droit à une sépulture décente. Maintenant que j'y pense, vu la fâcheuse tendance des morts de Sirius à renaître, je me rends compte que j'ai creusé une tombe pour rien. Elle doit être vide maintenant.

Après quelques jours passés à me cacher, j'ai fini par atteindre l'hôpital de la ville. Miracle, il était opérationnel et semblait habité par des non contaminés. Et comme il y avait de la lumière, je suis entré. C'était mon premier contact avec le clan des Lamentos.


Attributs: (45)
Force : 6
Vigueur : 5
Dextérité : 6
Intelligence : 8
Volonté : 8
Perception : 6
Charisme : 3
Chance : 3


Points de vie : 50


Compétences :
Médecine ****
Premiers soins ***
Survie **
Sens de l'orientation **
Artisanat *
Course à pied *


Inventaire de Ruben Dayan (400 points) :
Médi-Pack : 200pts. Sans mon pack, je me sens tout nu.
Kit de survie : 100pts. Survivre dans cet enfer, ça creuse l'appétit.
Cran d'arrêt : 30 points. Idéal pour planter quelques zombies avariés.
Sac à dos : 10pts. Il contient presque autant de choses que celui de Lara Croft.
Sac de couchage : 10pts. Je ne suis pas douillet, mais un sac de couchage ce n'est pas du luxe.
Briquet, Zipo : 10pts. Miam ! Un bon barbec' de zombies.
Emetteur/Récepteur : 10pts. Le téléphone pleure...
Lampe torche : 10pts. Pratique dans le noir.
Jumelles : 10pts. Les zombies, il vaut mieux les voir arriver de loin.
Couteau de cuisine : 10pts. En plus de la cuisine, ça me permet à mes heures perdues de tailler de la bavette de zombies.


Au fait, bonne année à tous les survivants ! En espérant qu'on reste en vie assez longtemps pour voir 2010...


Dernière édition par Ruben Dayan le Jeu 31 Déc - 21:38, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Ruben Dayan   Ruben Dayan Icon_minitimeDim 10 Jan - 19:01

Bonjour Ruben et bienvenu sur The Death Walk,

comme tu as pu le voir, la maintenance est encore en cours, un peu de retard dû à une étrange année 2009.

Attend la réouverture avant de faire les modifications nescessaires au nouveau système, nous ne pourons critiquer aucune fiche avant la réouverture officielle.
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MessageSujet: Re: Ruben Dayan   Ruben Dayan Icon_minitimeJeu 14 Jan - 23:41

Salut à toi Albrecht Von Kröne,

Merci d'avoir répondu. Je modifierai ma fiche à la réouverture du forum, et bon courage pour les travaux restant à faire.

Au fait, si ça vous intéresse, je suis prestataire en informatique et j'ai déjà eu l'occasion de développer pour la toile. Alors si vous avez besoin d'un coup de main, n'hésitez pas.

A +,
Ruben
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MessageSujet: Re: Ruben Dayan   Ruben Dayan Icon_minitimeDim 17 Jan - 14:00

En cas de gros soucis nous te contacterons, bien que pour l'heure nos modifications de Death Walk ne concerneront pas vraiment la partie informatique et que nous avons déjà quelques codeurs sous la main.

Dans tous les cas, nous te remercions de ta proposition. Wink
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MessageSujet: Re: Ruben Dayan   Ruben Dayan Icon_minitimeDim 17 Jan - 15:41

Ça marche. Bon courage à toute l'équipe.
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MessageSujet: Re: Ruben Dayan   Ruben Dayan Icon_minitime

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