The Death Walk
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 Flocke Plisken =')

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2 participants
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Flocke Plissken
J'ai pas d'fiche, c'est mal!
Flocke Plissken


Nombre de messages : 8
Date d'inscription : 16/11/2008

Feuille de personnage
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MessageSujet: Flocke Plisken =')   Flocke Plisken =') Icon_minitimeVen 21 Nov - 1:11

Veux pas faire zizi panpan avec un cactus par tes frères >__<


Prénom : Flocke (Elle a du naître dans les chiottes pour avoir une telle idée de prénom)
Nom : Plissken
Surnom : Flo’

Age : 22 ans
Classe : Le Voyou
Métier : Taxi driver
Orientation sexuelle : Au service de ces mam’zelles =’) Niark…
Appartenance : Les Lamento

Description physique : Tu connais Barbie ? Cte poupée blonde hyper bien gaulée à qui t’arrachais la tête quand t’étais gamine. Bah c’est un peu Flocke. Sauf que celle-ci possède son double de tour de poitrine, et qu’elle n’affiche pas un sourire débile à longueur de journée. Ses parents biologiques avaient sûrement du sang texan car elle se prend pour une cow-girl. Ou en apparence, d’esprit elle en est loin. Toujours vêtue de cuir et arborant un superbe chapeau. Elle possède un physique avantageux, grande, élancée bien formée, le sait et le met en valeur sans pudeur. Limite elle s’exhibe pour qu’on la remarque. De loin, comme ça vous la voyez marcher dans la rue ne portant qu’un short court et une veste en cuir beige ouverte sur son soutif de ce même coloris. Sa chevelure couleur paille ondulant dans son dos. Vous l’interpellez et se sont deux yeux étrangement rouges qui vous fixent. Et naturellement vous demandez c’est combien de l’heure.

-Putain, mais il se fou d’ma gueule ce con ? Perds du poids et va te faire greffer des nibards s’tu veux une chance que j’te mette dans mon pieu !

Nan, cette jeune femme n’est pas une péripatéticienne. Pas du tout. Bien qu’elle s’en donne l’apparence, mais elle est canon alors autant en profiter. Cette poupée californienne, donc, possède un visage très expressif. Des yeux en amandes aux prunelles naturellement de couleur rougeâtre. Problème de pigmentation y parait. Ses longs cheveux lui arrivent aux hanches, où elle aurait kiffé se faire tatouée, et une frange lui barre souvent le minois. Et quand ce n’est pas ça, c’est son couvre chef rabaissé sur ses yeux en une allure machiste qui la cache. Flocke est ce genre de personne, qui quand elle rentre dans un bar se fait remarquer. Déjà pask’elle fixe l’assemblée avant de faire un pas, et ensuite par le claquement des ses santiags ou ses talons sur le sol. Le parfum de cerise qui la suit à la trace et ses formes généreuses biens mises en évidence par une silhouette cambrée. C’est ce genre de femme à s’accouder au bar comme un homme et à commander un pichet de bière tout en reluquant sa voisine. Cette même voisine qu’elle draguera pour finir nues dans un coin. Où l’on pourra remarquer la parfaite pâleur de sa peau, et la douceur de ses mitaines en cuir noires si elle les a pas retirée. Et pis la douceur de bien d’autres choses bien sur…

Description psychique : L’habit fait pas le moine. Tout le monde connaît cette expression. Bah Flocke est la parfaite preuve qu’il faut toujours écouter ces vieux dictons. Une femme, c’est synonyme d’élégance et de sensualité, nan ? De douceur et d’innocence en quelque sorte. Disons qu’elle est tout simplement… le contraire. De l’élégance, ce mot n’est pas dans le dico Flocke. Elle n’emploie aucune formule de politesse, jure comme un charretier et est d’une grossièreté à en choquer les mamies. En ce sens elle rote, pète et crache, et le pire c’est qu’elle se marre juste après. En voyant la tronche que tire les gens qui l’entendent. De la sensualité, « Késakô ? ». La jeune femme pourrait être caricaturée comme bourrue et sans tact. Ou alors qualifiée de spontanée tout dépend des points de vue. Mais bref elle fait ce qu’elle pense et dit de même. Que se soit dans le bon sens ou le contraire elle s’en tape. Quitte à se faire plus d’ennemis que d’amis. Si elle a envie de tripoter un ou deux p’tits culs elle pas se gêner, et si un con l’emmerde elle le lui fera comprendre. De la douceur, ah oui ! Sa peau est très douce en effet. Sinan elle reste rustre voir même machiste. Elle aime être autoritaire et dominatrice, les candides nenettes toute doucereuses et soumises elle en fait qu’une bouchée. En fait c’est même une rebelle de l’autorité qui haie qu’on lui donne des ordres, même si elle est toujours à l’heure pour des livraisons. Disons que c’est juste une histoire de caractère de chien. De plus une femme qui distribue des pains et des coups de batte à tout va et qui avoue bien aimer zigouiller du zombie n’est pas l’incarnation de la douceur. Paradoxalement elle est plutôt lâche en fait ou alors c’est simplement qu’elle s’en fou. Et de l’innocence, quand elle avait 4 ans elle devait en posséder. Maintenant c’est foutu elle pourra plus être bonne sœur. Même si elle aime bien leur côté coincées et pucelles. Flocke est en fait la pire des obsédée, parler de cul est un de ses passe temps, avec sa caisse, favoris. Bon elle fait pas qu’en parler, hein ? Son esprit est aussi sacrément pervers, comme déjà dit elle aime avoir le contrôle, mais elle kiffe quand une autre femme possède ce trait de caractère. Limite ça la foutra en pétard mais au fond elle va tout faire pour la choper. Et pis dans l’intimité menottes et remontrance (la fessée *ç*) elle adore… (Désolée mon côté maso ^^" )
Cette jeune et charmante demoiselle n’est onc qu’une petite enflure avec une grande gueule et des greuh nénés.

But/Rêves: Sa voiture, des nanas, d’la binouze, aucune fringue.

Histoire : Le premier souvenir de Flocke c’est cet orphelinat. L’odeur âcre du bois et d’hosto qui flottait dans l’air. Elle y passa les trois premières années de sa foutue vie, sans jamais savoir d’où elle venait, avant d’être adoptée par une famille moyenne. Une mère morne qui passait son temps à mater la télé, un père abusif et violent dans un quartier difficile avec sans cesse des problèmes d’argent. L’amour parental, le bonheur familial et tout le tralala ne l’a jamais atteint. La fillette allait à l’école du quartier où, en tant qu’orpheline maigriotte, elle était cible de moqueries. Mais c’était une gamine sociable et avait donc quelques copains de jeu. Après deux ans sous ce toit l’homme de la maison commençait à trouver sa fille à son goût. Pas longtemps plus tard il rendit physique cette attirance anormale. Même si elle appelait ce type « Papa » elle ne le considérait pas plus que comme un mec qui la logeait et la nourrissait. Avec ces séances sexuelles abusives il devenait violent et la frappait, devenant un parfait rustre ayant régressé psychologiquement à l’état d’ours des cavernes. Et cet échange devint une habitude. En présence, ou pas, de sa mère. Qui entendait ses cris et ses pleurs mais se contentait d’augmenter le son de la télé. Cela dit elle ne se renferma pas sur elle-même comme la plupart des gosses dans son cas. Elle ne changea pas un poil, bien qu’elle nourrissait une haine profonde envers son père.

Quand elle était à l’école et au collège, les professeurs ne se posaient pas de questions quant aux bleus et aux marques visibles sur son corps. Flocke était déjà considérée comme une élève à problèmes, et ils liaient donc ces signes de coups aux bastons qu’elle engageait régulièrement contre une bande de gamins du quartier qui pétaient plus haut que leur cul. Mais avec deux ans de moins difficile de foutre une raclée à cinq garçons. Elle était donc toujours la plus amochée. Au début du second trimestre de l’année de ses treize ans, elle eut un genre de révélation quand leur prof de sport leur annonça qu’ils allaient faire du baseball. Il y avait là tout un stock de battes en bois. Chargée du rangement du matériel en fin de cours, elle s’en planqua une dans un coin qu’elle passa récupérer juste avant de rentrer chez elle. C’était qu’une gamine toute mince, mais avec cette arme elle pourrait rendre à son père toute la douleur qui lui avait donné. La seule chose qu’il lui ai jamais offerte. La rage au ventre, les dents serrées, les yeux en larmes elle débarqua chez elle fumante et rouge de colère. Coup de chance, ce soir là son vieux était encore trop bourré pour tenir debout. Quelques secondes d’hésitation et ses doigts se crispèrent sur le manche. Un premier coup dans le ventre, un second dans le dos quand il se courba sur lui-même. Et une fois au sol elle le frappa au hasard, aveuglée par une sorte d’adrénaline. Il ne bougeait plus. Encore en vie, mais dans le même état qu’elle après ses crises de violences. Puis, portée par ce même sentiment de puissance elle fuit de chez elle et alla tabasser cette bande de petits voyous.

Au matin Flocke s’éveilla dans un coin de rue, seule et amochée. La batte brisée et tâchée de sang dans une poubelle non loin. Elle prit son temps avant de rentrer chez elle, se balada pour la première fois tranquillement. Finalement elle prit un p’tit dèj dans un Fast-food, et posa sa candidature dans ce même resto en mentant sur son âge. A force de services à mi-temps, parfois même elle séchait les cours, elle faisait de petites économies et passait tout son temps hors de chez elle. Son père allait mieux, il ne dit jamais ce qui c’était réellement passé, trop honte peut-être. Vers ses quinze ans la jeune américaine entama une vie de débauche dans la rue. Elle se faufilait en douce en boite, draguait des nanas histoire de passer la nuit chez elles, vivait de son médiocre salaire et de petits vols. Et quand elle n’était ni dans le pieu d’une gonzesse, ni à son job et encore moins chez elle, c’est qu’elle se trouvait dans le petit garage du mécano du coin. Le seul représentant de la gente masculine qu’elle respectait. Il lui apprenait tout un tas truc les mains dans le cambouis. Et elle, elle l’aidait à bidouiller des bagnioles. Naquit alors un véritable fanatisme des caisses, et le must quand elles avaient de la gueule. Comme il ne la payait pas, et qu’elle lui rendait bien service il lui donna quelques petits conseils et lui apprit à conduire. Avant ses dix-huit ans elle maîtrisait déjà ces engins.

Dans un quartier loin de chez elle, elle commit le plus grand vol de sa carrière : piquer une tuture. Cela fait, dans le petit garage et grâce à ses économies elle la bidouilla, la customisa. Son bébé connu plusieurs couleurs pour finir dans les noirs et jaunes canaris. Le capot noir et des flammes de cette même couleur sur les portières. La touche finale le signal lumineux sur le toit. Elle était fière de ce bijoux intérieur cuir, avec des sonos de malade qu’elle prenait plaisir à pousser à bout. Mais ce style n’est que provisoire, tout les deux mois elle subit une remise à neuf. Quand sa caisse fut prête elle enfila la casquette de taxi driver et entama une nouvelle vie pénarde. Bon ses premiers clients finissaient toujours avec les intestins dans les chaussettes et à moitié sourds, mais ils étaient à l’heure et la course était rapide, c’est le plus important nan ?

A vingt ans, et toutes ses dents, ça faisait deux ans qu’elle vivait seule dans un studio minable. Son nouveau salaire lui permettait des petites folies. Même si, de toute façon, elle y dormait rarement. Enfin complètement libre Flocke était elle-même, loin de la gamine peste mais silencieuse et qui n’en impose pas. Nan, en devenant adulte son corps avait suivit et on ne la dévisageait plus, on la reluquait. Bien que canon vivre sans éducation avait fait d’elle un déchet de glamour et de politesse. En plus de fumer comme un pompier et de boire comme un trou, elle jurait, parlait mal et insultait qui bon lui semblait. Provoquant n’importe qui n’importe quand. Fuyant toujours quand ça s’avérait perdu d’avance, ou alors arborant parfaitement le je m’enfoutisme d’une façon très irritante. Mais bon ce p’tit côté rustre et rebelle était apprécié. Surtout par cette nana canon, elle refusait ses avances mais ne la repoussait pas. Et Flocke avait apprit de son père que quand les femmes disent nan, elles pensent oui. Pis après un chaud moment elle finit par se la faire, avec trop de vodka dans le pif. Trop encore quand elle reçu une plainte de viol et que les flics vinrent la chercher pas longtemps après. Au début ct’histoire la fit chier, et en fait elle se dit que vivre en taule c’était vivre tranquilou. Elle avait quoi ? 22 ans désormais, alors bon elle pouvait bien se faire un p’tit hôtel gratuit.

Le grand jour. Elle devait passer devant la barre. Et au moment où elle allait simplement dire : Ouais je l’ai baisé, un tremblement et des explosions se firent entendre. Nan cette fois elle n’avait ni but, ni fumé. La ville était bombardée. Le tribunal fut vidé et détruit en partie. Tout les jugements prévus furent annulés et les juges et avocats démis de leurs fonctions. La jeune américaine était donc libre, hélas. Quelques semaines plus tard elle était au courant que des zombies se baladaient et des clans qui naissaient dans la ville. Fallait qu’elle s’en trouve un, histoire d’être en sécurité et poursuivre sa vie pénarde. Le choix fut pas compliqué. Il y avait dans le clan des Lamento des jolis p’tits culs, argument bien plus avantageux à son goût. Elle y entra donc et exerce depuis le même métier de vitesse que dans le passé. Et même si elle se montrait rebelle à l’autorité, colérique, chieuse et toujours aussi vulgaire elle ne manquait jamais aucune livraison pour le clan. Mais autant dire que c’est purement par intérêt. Du moment qu’elle a sa caisse et des filles, le monde peut bien crever.

Attributs:
Force : 6
Vigueur : 5
Dextérité : 7
Intelligence : 5
Volonté : 6
Perception : 5
Charisme : 6
Chance : 5

Points de vie : 50

Compétences de classe :
#Conduite ****
#Drague **
#Mécanique *** (Dont tunning)
#Vol *
#Bagarre **
#Provocation *

Inventaire :
#Une auto
#Une batte en fer
#Un cran d’arrêt
#Une boite à outils
#Un zippo

Waaah j’ai eu un p’tit peu de mal pour m’y remettre -.-‘
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Albrecht Von Kröne
Chef des Eisenwölfe
Albrecht Von Kröne


Nombre de messages : 133
Classe : Le Taré
Date d'inscription : 12/09/2008

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MessageSujet: Re: Flocke Plisken =')   Flocke Plisken =') Icon_minitimeDim 23 Nov - 23:17

En attente car tu as pas mal de difficultés en se moment pour pouvoir commencer sereinement à jouer sans risquer de bloquer d'autres joueurs.

Donc, à la Morgue en attendant des jours plus fastes.
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